Y’avait longtemps, il fallait bien un nouveau rêve bizarre (ça va faire plaisir à certains). Visiblement, la sarkose aigue me rattrape, puisque notre petit président vient déjeuner à la maison. On est tous les quatre devant la porte et on le regarde galérer à garer sa voiture dans la cours. C’est une vieille R5 beige toute pourrie avec des housses de siège bleues à petits poissons jaunes (c’est un rêve, rien ne m’oblige à y avoir bon goût), et la première est cassée. Il a pas de gardes du corps, à part un barbu à l’aspect néanderthalien que maman a prié d’attendre dans sa grosse BM noire garée sur le trottoir – ce qu’il fait bien sûr. Donc tout le monde va s’installer dans la salle à manger. Grand-père Maxime est là, il porte une cravate rouge avec son habituel gilet bleu.
Plan de table
? GP Sarkozy
? toi moi
? GP Sarkozy
? toi moi
On porte toutes les deux des robes courtes en coton + stretch ; la mienne est rayée grise et prune, la tienne grise et bleu marine. Parlote parlote – mais aucune idée du sujet. Nouveau plat, on s’est changée de tenue : maintenant nos robes sont en lurex à grosses rayures grises et bleu marines (le bon goût n’a décidément aucun rôle dans ce rêve !). Je porte un bandeau assorti (au point où on en est…) et nous dansons, assises sur nos chaises. Ou plutôt tu balances ton buste et moi j’agite les bras comme si je volais. Je vais chercher le prochain plat à la cuisine, qui pour une fois est en face de la salle à manger. Je me retrouve en robe bustier blanche à boutons dorés, très Dsquared ou LV cruise collection. D’ailleurs je porte des sandales Louis Vuitton dorées (enfin un peu de bon goût). Sarkozy me rejoint dans la cuisine (et je suis plus grande que lui…) et commence à me faire des avances quand M. me hurle depuis la table : « oublie pas de ramener le pâté de crabe ! ».
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