Désolé pr "tous" ceux qui trépignent, la suite de "sex crimes" ça sera pas pour aujourd'hui. J'ai pas envie d'écrire, j'ai pas envie de faire mes valises, j'ai pas envie de finir mon tp de langage C. J'ai oublié comment je faisais l'an dernier. J'ai juste envie de passer la journée à ne pas bouger. Ce matin je suis restée une heure sous la douche à regarder l'eau couler sur mon épaule, et ça m'allait très bien. J'aurais du y rester.
Friday, October 31, 2008
Wednesday, October 29, 2008
sex crimes
Pour vous dire mon niveau de désespoir, je me suis retrouvée à regarder « Sex crimes » à 14h12 un mercredi après-midi (téléchargé un jour où je m’étais dit qu’avoir vu « Sex intentions » mais pas « Sex crimes » vraiment, c’était trop bête).
Donc nous avons Sam Lombardo, conseiller d’éducation dans un quelconque lycée californien. Sam est bô, viril et séduisant. La preuve, il va faire du radeau dans les marais et donne à manger au pauvre crocodile solitaire, qui erre là pour les besoins du film alors qu’on voit bien que la seule chose dont il a envie, c’est d’aller picorer la cuisse de Denise Richards avec sa Madame Crocodile. Donc évidemment, toutes les filles du lycée sont folles de Sam. Surtout Kelly von Ryan, pompom girl sainte-nitouche et riche, future prom queen et habillée comme un pied (mais ça personne s’en rend compte parce que c’est les années 90), mais qui ne manque pas une occasion de se frotter « discrètement » contre lui. Kelly a une vie trop dure parce que sa maman oublie d’aller la chercher à la sortie du lycée, et se balade en Wonderbra et string sur le balcon. Ben oui, parce que la maman aussi est folle du bô Sam. Donc pour compenser elle s’investit dans l’humanitaire. Comprenez : elle et ses copines lavent les voitures des autochtones pour gagner de l’argent pour sauver les tortues du Brésil (ou similaire). Evidemment comme Sam va dans les marais - les lieux sales et boueux étant l’habitat de prédilection de l’homme viril -, sa Jeep est toute sale. Donc Kelly et sa copine Nicole se propose spontanément pour la nettoyer. Et là, c’est le drame. Comme il fait chô, les pauvres adolescentes innocentes ont oublié de mettre des sous-vêtements, et se sont habillées tout en blanc. Vu le niveau de subtilité de la scène, Denise Richards pourrait aussi bien s’écriait « mon short en coton blanc est tout mouillé et j’ai oublié de mettre une culotte ». Mais non, parce qu’on est pas des bourrins, quand même, alors on se contente de faire un gros plan sur ses fesses, avec sa copine qui l’asperge au tuyau d’arrosage.
Quand je vous aurai parlé du 3ème protagoniste, vous aurez pleinement saisi le niveau de l’intrigue du film. Ladite protagoniste est donc N’a-pas-de-nom-à-15 :12. C’est la rebelle du lycée, repérable à ses Doc Martens, sa voiture rouillée et sa teinture bicolore ratée. Pour l’instant, son apparition écran se limite à être atrocement vulgaire et à dire des gros mots, ce qui choque la pauvre Kelly qui, comme il a été démontré plus tôt, est parfaitement pure et innocente.
Et comme je sens bien que tout ça c’est trop intense pour vous, je vais le faire en plusieurs fois.
insipidité
Donc, hier, M. revient du bureau avec des feuilles de platane (je crois. vous savez, les grosses avec les dents - ou alors c'est du châtaigner). Elle me les tend et me dit "tiens c'est pour toi". Euh... merci ?
Ce soir on va en ville, et en théorie au ciné voir "le crime est notre affaire ensuite" (je dis en théorie, parce que quand je suis allée me couchais hier ils en étaient toujours à se disputer pour savoir si oui ou non on avait le temps de faire Etam, Kookaï, Caroll et Agatha et d'être à l'heure au cinéma. Réponse : oui)
Sur ces nouvelles trépidantes, je m'en vais réviser mes semiconducteurs (parce que sinon j'ai pas le droit d'aller en ville ce soir)...
Monday, October 27, 2008
miss Bergère de France 2008
Hier il faisait froid, aujourd’hui il pleut. Exactement le genre de temps qui te rappelle pourquoi ta grand-mère te tricote des pulls pur laine. Je suis rentrée depuis 2 jours et demis et j’ai déjà l’impression d’être miss Bergère de France 2008. Ou plutôt une boule de laine avec des jambes, puisque dans la famille l’adjectif « cintrée » correspond uniquement à « pendu sur un cintre ». Mais ne nous plaignons, les pulls en laine ont un effet positif 2 en 1 : 1) il me tienne chaud et 2) me voir les porter fait plaisir aux deux générations matriarcales réunies béatement autour de moi.
Ca m’évite de passer pour une fille complètement indigne, alors qu’on a déjà frisé le drame hier. M., ravie que je rentre (…), a décidé de passer une semaine à me gaver comme un canard la veille de Noël. Elle a donc cuisiné un gâteau au chocolat – qui est très bon, là n’est pas la question. Sauf qu’elle veut que je le mange au petit-déjeuner. On pourrait espérer qu’en 19 ans elle aurait compris qu’au petit-déjeuner je mange peu, je mange mal et je mange industriel. Je supporte pas de manger des pains au chocolat venus du boulanger à cette heure, alors un gâteau au chocolat… Histoire de faire plaisir, j’en mange quand même une bonne part (un peu plus d’1/8, ce qui pour moi est déjà bien) et ensuite je me mets en quête des BN. Arrive M., qui voyant ça se jette sur le paquet de BN pour tenter de me l’arracher des mains et m’empêcher d’en manger. Au final j’ai eu gain de cause, mais elle me l’a reprochée à midi, pendant qu’elle repassait et au dîner…
Pour commencer joyeusement et dignement ces vacances, hier il y avait messe commémorative. J’y ai vu Adrien, d’ailleurs, qui a craqué et m’a sortie sa première phrase en 2 ans : « oh ben ça fait longtemps qu’on s’est pas vu ! ». Ben oui, mais c’est pas ma faute si tu es ventousé à ta copine chaque fois que je rentre. Non, en fait j’ai pas dit ça parce que ladite copine était dans le rayon réglementaire inférieur au mètre, et aussi parce que je me suis dit qu’à une sortie d’église, ça se fait pas trop. Déjà que j’avais failli être prise de fou rire pendant la cérémonie… Franchement, est-ce que c’est ma faute si l’orgue était désaccordée, et qu’au lieu de produire une musique digne et solennelle au moment de la communion elle a sorti un air digne d’Hitchcock ? Et si la dame qui chantait débutait, et chantait atrocement faux ? Si elle commençait sur un rythme et que le curé couvrait aussi rapidement que possible son chant pour imposer un autre rythme ? et qu’en plus ils ont passé la messe à se couper la parole, parce qu’elle n’avait aucune idée de quand elle devait commencer à chanter ? Ajoutez à ça le curé qui a fait de la pub pour le nettoyage de l’église (« tous les vendredis à 9h, tous les volontaires sont les bienvenus, l’église se salit vite à cause de la voûte » Et toute l’assistance qui dans un parfait ensemble lève les yeux vers la voûte) ou la nouvelle chaudière (« elle devrait bientôt être réparée, j’ai appelé l’entreprise hier »).
Aujourd’hui ça va être moins drôle, au programme j’ai médecin et harcèlement maternel pour que je me mette à travailler. Et demain coiffeur, mais je sais toujours pas comment je vais me coiffer (en fait j’hésite à demander la même coupe que Katie Holmes… mais juste parce que j'aime bien la coupe, pas pour lui ressembler, hein !)
Friday, October 24, 2008
j'aime pas les femmes - Linda Lemay
Y'a bien des fois, j'aime pas les femmes
Souvent, j'les hais parce qu'elles sont belles
Quand elles sont fortes, je les blâme
De vouloir s'prendre pour des hommes
Y 'a bien des fois, j'aime pas les hommes
Je leur en veux d'être infidèles
Mais, quand j'pense aux femmes qu'ils trompent
J'me dis que c'est bien fait pour elles
Car, bien des fois, j'aime pas les femmes
Et leur beau discours de p'tite mère
Et j'meurs de honte quand elles se pâment
Pour un idiot d'homme ordinaire
Parce que, bien sûr, j'aime pas les hommes
Quand ils me chassent d'leur univers
J'voudrais qu'y m' prennent pour un des leurs
J'voudrais partager leur bière
J'me sens ridiculement femme
C'est-à-dire frustrée de nature
Une de ces qui font les drames
Pendant qu'leurs hommes font les durs
Y'a bien des fois, j'aime pas les hommes
Et, pourtant, j'voudrais qu'ils m'adoptent
Qu'y m'apprennent à ret'nir mes larmes
A m'sentir fière d'être sotte
C'que j'peux m'en vouloir d'être une femme
Surtout quand j'tombe dans les filets
D'un de ces pauvres polygames
Qui m'jure de s'en aller jamais
{Refrain:}
J'aime pas les hommes qui me déchirent
J'aime pas les femmes qui me consolent
Lorsque les hommes veulent revenir
Y 'a ces mêmes femmes qui me les volent
J'aime pas les femmes quand elles vieillissent
Avec des marques de chagrin
Je hais les hommes de père en fils
Car y comprennent jamais rien
J'aime pas les femmes qui se promènent
Qui s'en vont s'perdre dans tes secrets
Elles sont peut-être les prochaines
Que tu bris'ras à tout jamais
Toi que je hais
Toi que j'aimais
{au Refrain}
Lynda Lemay - J'aime Pas Les Femmes
envoyé par abessolo
Sorry, sorry, sorry... more coming soon : je vais chez le coiffeur et je rejoins le foyer familial...
Saturday, October 18, 2008
regrets inutiles
C'est étonnant comme les gens changent peu, parfois.
Amandine, par exemple, à qui je n'avais pas parlé depuis le brevet (sauf "bonjour" à Raoul Follereau juste avant l'allemand pendant le bac) et que j'ai retrouvé sur Facebook. Elle a toujours la même adresse mail, la même adresse MSN. Et son film préféré c'est toujours "Sexe intentions". Ce qui m'a rappelée qu'on l'avait regardé la fois où j'avais passé l'après-midi chez elle, et qu'en rentrant j'avais dit aux parents qu'on avait regardé "La petite sirène". Le salon était super beau (ou au moins je m'en souviens comme tel, depuis mes 13 ans) : les fauteuils Louis XVI et un canapé recouverts de tissu blanc séparés par des plantes verts, disposés en demi-cercle autour du fauteuil. Le tissu m'a particulièrement marqué, parce que j'avais eu mes règles inopinément dans l'après-midi et j'étais terrifiée à l'idée d'y faire une tache. Et aussi, elle m'avait montrée la cachette où elle dissimulait les mots qu'elle échangeait en classe avec son "copain". Et même que c'était dans un espèce de panier en terre cuite suspendu au mur.
Et Déborah, à qui je n'ai pas non plus parlé depuis le collège, mis à part des rencontres rapides dns le parc quand on allait courir aux heures de sport. Son livre préféré c'est toujours "mon bel oranger", qu'on avait lu en 5ème. La partie "vinaigrée" de moi a tendance à me souffler : "c 'est sûrement parce qu'elle n'en a pas lu d'autre depuis". Mais ça c'est uniquement parce "ma vie est trop bien blablabla j'ai un copain formidable blablabla je suis en école d'infirmières blablabla". Comme l'a fait remarquer JB quand je m'en plaignais : "oui mais toi tu vas être ingénieur". Ya, but not the good grievance.
image : shoubidoubidOuouaAaA
Thursday, October 16, 2008
je crois pas aux signes...
"What if he doesn't share these feelings ?
- You're a nini !"
... surtout quand ils sont sur pellicule, mais Emma + grey's anatomy, ça fait beaucoup.
(et l'orthographe de "nini" est aléatoire - et fausse)
- You're a nini !"
... surtout quand ils sont sur pellicule, mais Emma + grey's anatomy, ça fait beaucoup.
(et l'orthographe de "nini" est aléatoire - et fausse)
Monday, October 13, 2008
la différence entre moi et Blair Waldorf
Pas de module d'ouverture, partiel de semicond reporté à la rentre, et toutes les machines à laver occupées (un lundi après-midi !! les gens ne sont donc jamais en cours ?) ; je n'ai donc absolument rien à faire, ce qui me laisse tout loisir pour vous raconter ma vie.
Donc hier, plus de pantalons (d'où la nécessité de la lessive, soit dit en passant), donc j'avais décidé de mettre une robe, en l'occurence celle achetée à Promod parce que mes chèque cadeaux arrivaient à date de péremption. Vérification faite, pour une fois M. a raison et cette robe et tragiquement transparente, du genre 1ère photo de Diana. C'est le moment crucial où il faut que je mette la main sur un fond de robe. Mais si j'étais Blair Waldorf ça se saurait, donc en guise de fond de robe j'ai juste la chemise de nuit noire que j'ai acheté à Etam un jour où je voulais porter autre chose que des pyjamas fushia avec des fruits hilares. Pas de bol, la chemise de nuit est sale, mais pas grave, puisque M., en mère attentionée, m'a fournie du Super Vizir détache tout six en un lavage main propreté impeccable pour juste quinze minutes de trempette.
Mais distraite comme je suis, j'oublie complétement de le faire et je vais me coucher en me disant qu'il me reste quelque chose faire. Et c'est donc pour ça qu'à minuit je me suis retrouvée en train de lire Antonia Fraser dans la salle de bains, en attendant que ma chemise de nuit "promue" fond de robe ait fini son auto-nettoyage. Et aussi en train de croiser très fort les doigts pour qu'elle soit sèche le lendemain.
Je ne vous tiendrai pas plus longtemps dans ce suspens. sachez que, oui, ce matin j'ai pu mettre la robe et le fond de robe sans problème. c'est génial, je trouve...
Sunday, October 12, 2008
Emma l'entremetteuse
Hier soir, pour me changer les idées, j'ai regardé Emma l'entremetteuse. Me changer les idées, c'était complétement raté, mais ne serait-ce que pour la scène où elle prie "Dear Lord, if he can't share life with me, is it wrong to ask that he not share it with anyone? I would be content if he would only stay single. Almost.", ça valait le coup de le re-regarder. Bon, et bien sûr pour cette scène-là aussi :
J'avais l'intention d'écrire un article "consistant" ce week-end, mais je sens que j'en prends pas le chemin. Par contre j'ai fait le tri dans les fichiers qui traînaient un peu partout dans mon ordi, et j'ai retrouvé les articles suivants à différents stades d'avancement : les gens dans les rames de métro - les clichés dans les films hollywoodiens - les séries que je suis/ai suivi - la maternité - "la momie" (oui, le film tout pourri) - un certain nombre datant des vacances, plus ou moins acides selon mon humeur. Il faudrait que je les termine, quand je serai motivée.
J'avais l'intention d'écrire un article "consistant" ce week-end, mais je sens que j'en prends pas le chemin. Par contre j'ai fait le tri dans les fichiers qui traînaient un peu partout dans mon ordi, et j'ai retrouvé les articles suivants à différents stades d'avancement : les gens dans les rames de métro - les clichés dans les films hollywoodiens - les séries que je suis/ai suivi - la maternité - "la momie" (oui, le film tout pourri) - un certain nombre datant des vacances, plus ou moins acides selon mon humeur. Il faudrait que je les termine, quand je serai motivée.
Saturday, October 11, 2008
breakfast won't be at Tiffany's
Mon efficacité m'étonne moi-même, parfois. Il est midi, et j'ai fini l'intégralité de mon ménage. Il faut dire aussi que j'ai commencé hier à 22h, alors j'ai tout de suite moins de mérite. A 22h parce que mon voisin fêtait son anniversaire en compagnie de beaucoup de bourrins et de goûts musicaux discutables (même pour moi, c'est dire...). Donc en début de soirée j'avais déménagé en Fourier pour voir Juno (qui est génial, d'ailleurs. si je suis motivée je ferai un article dessus). Quand je suis revenue ils étaient en pleine phase David Guetta, donc même pas la peine que j'essaye de dormir. Donc j'ai repassé, fait la poussière, pris ma douche, écrit aux grands-parents, commencé la bio de Marie-Antoinette par Antonia Fraser. Et très bizarrement, à minuit pile, y'a plus eu un seul bruit dans l'appart' à côté. Si ça se trouve les invités se sont entretués, et la musique a couvert les bruits (non, ça c'est un voeu pieux...). J'ai pas été vérifiée, je me suis contentée d'aller dormir.
Btw, j'ai enfin vu la fin de la saison 1 de Gossip Girl - il me reste les épisodes 17 et 18 à voir. ça m'a bien fait triper, de voir la méchante Georgina habillée en cuir et vinyle noirs, alors que la pauvre petite Serena sans défense porte des matières diaphane blanches et dorées. J'ai enchaîné avec la saison 2, qui n'est ni pire ni meilleur, à mon avis, même si les tenues de Chuck se sont pas améliorées (2.04 : le costume 3 pièces en satin lilas, avec chemise rayée et noeud pap' à fleurs assortis...). Par contre j'adore les passages où Blair rêve qu'elle est dans un film d'Audrey Hepburn? Et je trouve ça d'autant meilleur que ça m'étonnerait que bcp de gens - au moins en France - percutent la référence quand on voit Blair courir après un chat qui s'appelle Cat sous la pluie, avec "Moonriver" en fond sonore.
Btw, j'ai enfin vu la fin de la saison 1 de Gossip Girl - il me reste les épisodes 17 et 18 à voir. ça m'a bien fait triper, de voir la méchante Georgina habillée en cuir et vinyle noirs, alors que la pauvre petite Serena sans défense porte des matières diaphane blanches et dorées. J'ai enchaîné avec la saison 2, qui n'est ni pire ni meilleur, à mon avis, même si les tenues de Chuck se sont pas améliorées (2.04 : le costume 3 pièces en satin lilas, avec chemise rayée et noeud pap' à fleurs assortis...). Par contre j'adore les passages où Blair rêve qu'elle est dans un film d'Audrey Hepburn? Et je trouve ça d'autant meilleur que ça m'étonnerait que bcp de gens - au moins en France - percutent la référence quand on voit Blair courir après un chat qui s'appelle Cat sous la pluie, avec "Moonriver" en fond sonore.
Tuesday, October 7, 2008
théorie vs. pratique
- en théorie : mon réveil sonne le matin.
- en pratique : ah ben non, en fait.
- en théorie : j'écoute l'intervenant de MO parler de l'astrophysique.
- en pratique : je fais les mots croisés du 2O minutes et je regarde Chérina dessiner les aventures de Super Moumouche.
- en théorie : ce soir je prépare mon TP de CSC.
- en pratique : je suis toujours nulle en électronique, et en plus je viens de recevoir Cosmo.
- en théorie : il y a la queue à la Poste, dc quand on est au guichet on se dépêche.
- en pratique : Chérina a fait tomber la pile de Colissimo artistiquement posés en guise de déco, et j'ai mis 1/4 d'h à choisir des timbres.
- en théorie : je reste concentrée sur mon TP jusqu'à la fin.
- en pratique : j'ai fait les mots croisés du 20 minutes en attendant que le prof me dise de partir.
- en théorie : j'arrête de dépenser.
- en pratique : marge d'erreur très très élevée.
- en théorie : je rends mes livres à temps.
- en pratique : pour une journée, ils ne vont pas m'en vouloir, si ?
- en théorie : je ne travaille pas le soir parce que je suis distraite.
- en pratique : plus distraite (mais en fait je préférais avant).
Sunday, October 5, 2008
pear shaped or square cut
Saturday, October 4, 2008
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