Sunday, April 26, 2009
Sunday, April 19, 2009
10 things I hate about shopping
1. Ne pas trouver comment s’enfile un vêtement : ah non ça c’est une manche ; zut y’a un ruban qui pend ; à ton avis, ça s’attache comme un cache-cœur ?
2. Se tordre quelque chose en enfilant le vêtement. Le cou, le plus souvent, mais ça marche aussi très bien avec les épaules, voir même la cheville dans les bons jours.
3. Après avoir durement bataillé avec une robe bizarrement trop étroite, sortir de la cabine pour entendre la vendeuse dire « vous voulez de l’aide pour remonter la fermeture ? ». Ah, c’était donc ça le secret de l’enfilage facile : la fermeture éclair…
4. Se contorsionner dans tous les sens pour enlever une robe/jupe une taille trop petite, qu’on avait quand même réussi à enfiler. Rester coincée, et devoir demander de l'aide à la vendeuse.
5. Devoir expliquer à la vendeuse qui vient de passer la tête par le rideau que oui oui, tout va bien, mais qu’on apprécierait qu’elle n’ouvre pas grand le rideau quand on est en petite culotte.
6. Trouver la robe parfaite, bonne forme, bonne longueur, bonne couleur, et devoir y renoncer parce qu’il n’y a pas sa taille.
7. Essayer un vêtement, trouver qu’il ne va pas si mal, regarder l’occupante de la cabine voisine qui essaye le même, reposer le vêtement.
8. Voir celle-de-la-cabine-voisine se saisir de la robe qu’on vient de reposer, l’essayer et se pavaner entre deux miroirs.
9. L’écouter expliquer à une copine que « le réglisse, c’est exactement ma couleur, cette saison je ne porte plus que ça ». Lui attribuer plein de qualificatifs en –asse.
10. Malgré tout ça, réussir à trouver la robe parfaite (like, good colour, good length, good form, you name it), rentrer, montrer son achat à sa mère, pour obtenir comme réaction très flatteuse : « y’avait pas la taille du dessus ?»
2. Se tordre quelque chose en enfilant le vêtement. Le cou, le plus souvent, mais ça marche aussi très bien avec les épaules, voir même la cheville dans les bons jours.
3. Après avoir durement bataillé avec une robe bizarrement trop étroite, sortir de la cabine pour entendre la vendeuse dire « vous voulez de l’aide pour remonter la fermeture ? ». Ah, c’était donc ça le secret de l’enfilage facile : la fermeture éclair…
4. Se contorsionner dans tous les sens pour enlever une robe/jupe une taille trop petite, qu’on avait quand même réussi à enfiler. Rester coincée, et devoir demander de l'aide à la vendeuse.
5. Devoir expliquer à la vendeuse qui vient de passer la tête par le rideau que oui oui, tout va bien, mais qu’on apprécierait qu’elle n’ouvre pas grand le rideau quand on est en petite culotte.
6. Trouver la robe parfaite, bonne forme, bonne longueur, bonne couleur, et devoir y renoncer parce qu’il n’y a pas sa taille.
7. Essayer un vêtement, trouver qu’il ne va pas si mal, regarder l’occupante de la cabine voisine qui essaye le même, reposer le vêtement.
8. Voir celle-de-la-cabine-voisine se saisir de la robe qu’on vient de reposer, l’essayer et se pavaner entre deux miroirs.
9. L’écouter expliquer à une copine que « le réglisse, c’est exactement ma couleur, cette saison je ne porte plus que ça ». Lui attribuer plein de qualificatifs en –asse.
10. Malgré tout ça, réussir à trouver la robe parfaite (like, good colour, good length, good form, you name it), rentrer, montrer son achat à sa mère, pour obtenir comme réaction très flatteuse : « y’avait pas la taille du dessus ?»
Sunday, April 5, 2009
Cette fois ce n'est pas Londres
à Florence jusqu'au 15 avril.
Pas d'update d'ici là. Vous me direz, ça change pas grand chose.
Je vous répondrai "zut"
edit : je vous laisse avec une super blague à laquelle j'ai pensé ce matin sous la douche
si j'avais des jumelles, je les appelerai Pucci et Gucci
Pas d'update d'ici là. Vous me direz, ça change pas grand chose.
Je vous répondrai "zut"
edit : je vous laisse avec une super blague à laquelle j'ai pensé ce matin sous la douche
si j'avais des jumelles, je les appelerai Pucci et Gucci
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