Abécassis Eliette, les tribulations d’une jeune divorcée – Déborah a 28 ans, des copines passablement allumées, un amour immodéré de la glace au chocolat et un humour à faire rire Goebbels. Déborah cherche l’amour aussi. Rien de bien exceptionnel, sauf que Déborah est divorcée-deux-enfants, ce qui donne une histoire un poil plus originale que les autres – et surtout, à hurler de rire.
Ahern Cecilia, PS : I love you – Ou comment surmonter la mort de son mari grâce aux lettres qu’il a rédigé durant la phase terminale de son cancer, où il vous conseille d’acheter une lampe ou de s’inscrire au karaoké. Une sorte de «girl for all seasons » (voir plus bas) mortuaire. Bon en livre, insupportable en film.
Austen Jane – la première écrivaine de chick’ lit’, qui a réussi à passer à la postérité en écrivant des livres centrés uniquement sur des intrigues « m’épousera-t-il ? », et à qui on doit un des meilleurs héros qui existe, j’ai nommé Fitzwilliam Darcy. Pour ceux qui n’en auraient jamais lu, jetez-vous sur « Pride and prejudices », ou sur sa brillante adaptation par la BBC.
Brontë Charlotte, Jane Eyre – Jane est pauvre, Jane n’est pas belle, mais Jane est douce, vertueuse et brillante. Elle est envoyée comme préceptrice à Thornhill, domaine du sombre et séduisant M. de Rochester, où se répercute la nuit des cris étranges. Avec un final fantastiquement kitsch et réjouissant, parfaitement rendu dans le film avec Charlotte Gainsbourg.
Bagieu Pénélope, ma vie est tout à fait fascinante – parce que la chick lit’, ça peut aussi être de la BD, et que Pénélope le démontre brillamment tous les jours sur son blog.
Cutler Jessica, sexe au Capitole – Jessica arrive à Washington pour gagner plein d’argent, se retrouve secrétaire parmi tant d’autres dans un bureau sénatorial, se prostitue pour arrondir ses fins de mois et pouvoir s’acheter de la coke, en fait un blog, qui fait scandale et est publié en livre. Acheté et ramené en boutique dans la même journée, tellement la fille est pas intéressante (en plus, elle critique Tiffany’s…).
Daswani Kavita, Mariage à l’indienne – Parce qu’il n’y a pas que les anglo-saxonnes qui, à 30 ans, commencent à s’angoisser à l’idée de ne toujours pas avoir trouvé d’homme idéal. Les indiennes aussi, surtout quand la tradition voudrait qu’elles soient mariées depuis au moins 12 ans.
Fielding Helen, le journal de Bridget Jones – le premier, l’inimitable et le plus drôle. Les tribulations de Bridget, londonienne trentenaire amoureuse de son patron beau et coureur de jupons et que sa mère tente désespérément de caser avec un riche avocat récemment divorcé. Des rebondissements ouvertement pillés à Jane Austen et une écriture sous forme de journal intime hilarante. La suite est bien aussi, et les films rendent justice aux livres.
Ahern Cecilia, PS : I love you – Ou comment surmonter la mort de son mari grâce aux lettres qu’il a rédigé durant la phase terminale de son cancer, où il vous conseille d’acheter une lampe ou de s’inscrire au karaoké. Une sorte de «girl for all seasons » (voir plus bas) mortuaire. Bon en livre, insupportable en film.
Austen Jane – la première écrivaine de chick’ lit’, qui a réussi à passer à la postérité en écrivant des livres centrés uniquement sur des intrigues « m’épousera-t-il ? », et à qui on doit un des meilleurs héros qui existe, j’ai nommé Fitzwilliam Darcy. Pour ceux qui n’en auraient jamais lu, jetez-vous sur « Pride and prejudices », ou sur sa brillante adaptation par la BBC.
Brontë Charlotte, Jane Eyre – Jane est pauvre, Jane n’est pas belle, mais Jane est douce, vertueuse et brillante. Elle est envoyée comme préceptrice à Thornhill, domaine du sombre et séduisant M. de Rochester, où se répercute la nuit des cris étranges. Avec un final fantastiquement kitsch et réjouissant, parfaitement rendu dans le film avec Charlotte Gainsbourg.
Bagieu Pénélope, ma vie est tout à fait fascinante – parce que la chick lit’, ça peut aussi être de la BD, et que Pénélope le démontre brillamment tous les jours sur son blog.
Cutler Jessica, sexe au Capitole – Jessica arrive à Washington pour gagner plein d’argent, se retrouve secrétaire parmi tant d’autres dans un bureau sénatorial, se prostitue pour arrondir ses fins de mois et pouvoir s’acheter de la coke, en fait un blog, qui fait scandale et est publié en livre. Acheté et ramené en boutique dans la même journée, tellement la fille est pas intéressante (en plus, elle critique Tiffany’s…).
Daswani Kavita, Mariage à l’indienne – Parce qu’il n’y a pas que les anglo-saxonnes qui, à 30 ans, commencent à s’angoisser à l’idée de ne toujours pas avoir trouvé d’homme idéal. Les indiennes aussi, surtout quand la tradition voudrait qu’elles soient mariées depuis au moins 12 ans.
Fielding Helen, le journal de Bridget Jones – le premier, l’inimitable et le plus drôle. Les tribulations de Bridget, londonienne trentenaire amoureuse de son patron beau et coureur de jupons et que sa mère tente désespérément de caser avec un riche avocat récemment divorcé. Des rebondissements ouvertement pillés à Jane Austen et une écriture sous forme de journal intime hilarante. La suite est bien aussi, et les films rendent justice aux livres.
1 comment:
t'as oublie Bushnell Candace, Sex and the City. Serie trop bien, livre illisible.
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