Girod de l’Ain Alix, Sainte futile – Ou comment rencontrer Dieu, découvrir qu’il ressemble à Karl Lagerfeld et apprendre que futile rime avec utile. Un roman plein de bons sentiments et de second degré, gentille satire de la presse féminine, écrit par une de ses journalistes les plus connue et les plus drôles.
Harvey Sarah, La cerise sur le gâteau – Grace va épouser un homme qui porte des vestes en tweed et a une raie bien droite en plein milieu du crâne. Ses amis s’unissent pour l’empêcher de commettre l’erreur de sa vie, se débattent dans des problèmes financiers inextricables et trouvent aussi chaussette à leur pied. Les meilleurs clichés du genre en un seul livre. Parfait pour lire à plan ventre sur le tapis du salon, les soirs de Noël où on s’ennuie.
Hochberg Agathe, ce crétin de prince charmant – Parce que les filles ne sont jamais contentes : celles qui sont célibataires aimeraient rencontrer quelqu’un, et celles qui sont casées voudraient bien être célibataire le temps d’une soirée. Ni optimiste ni kitsch, juste un échange de mails très bien écrit sur le sujet.
Karasyov Carrie & Kargman Jill, Chic et choc à New-York – Qui ne sont PAS deux hamsters à New-York, la méprise venant encore une fois de la traduction plus que lointaine du titre anglais. Les humiliations de Mélanie Korn, ex-hôtesse de l’air et nouvelle riche qui tente de s’intégrer aux upper East-Siders sans avoir compris qu’avoir de l’argent n’apporte ni bon goût ni reconnaissance. Rassurez-vous, il y a une morale simpliste. Pas le mieux du genre, je le reconnais.
Kinsella Sophie, les confessions d’une accro du shopping – Un des premiers livres de CL après Bridget Jones. A tout problème Becky ne connaît qu’une solution : le shopping. Clairement, il y a des ennuis financiers dans l’air, et aussi une histoire d’amour (mais ça, on le sait dès la page 20, alors qu’elle ne le découvre qu’à la page 280). Très bon malgré une héroïne parfois légèrement horripilante.
Kinsella Sophie, les petits secrets d’Emma – Emma a peur de l’avion, et déballe tous ses secrets à un parfait inconnu au cours d’un vol mouvementé. Bin sûr l’inconnu ne l’est pas tant que ça, et Emma apprendra à ses dépends qu’on ne raconte jamais ses secrets impunément. Et je vous laisse deviner avec qui elle est à la fin du livre… lu en une journée cet été.
Long Sarah, And what do you do? - Voilà une héroïne qui a réglé l’éternelle question “can you have it all” en se consacrant à ses enfants et en laissant son mari travailler. Mais à l’approche de la quarantaine, elle se désespère de son derrière pachydermique et de ses cheveux ternes. Et découvre un matin que son mari français (et donc volage) a une liaison. Voilà exactement l’événement qu’il fallait pour secouer Laura et faire avancer l’histoire. Ouf, on a cru rester 400 pages sur des problèmes d’au-pair suédoise allergique à la pulpe de tomates !
Harvey Sarah, La cerise sur le gâteau – Grace va épouser un homme qui porte des vestes en tweed et a une raie bien droite en plein milieu du crâne. Ses amis s’unissent pour l’empêcher de commettre l’erreur de sa vie, se débattent dans des problèmes financiers inextricables et trouvent aussi chaussette à leur pied. Les meilleurs clichés du genre en un seul livre. Parfait pour lire à plan ventre sur le tapis du salon, les soirs de Noël où on s’ennuie.
Hochberg Agathe, ce crétin de prince charmant – Parce que les filles ne sont jamais contentes : celles qui sont célibataires aimeraient rencontrer quelqu’un, et celles qui sont casées voudraient bien être célibataire le temps d’une soirée. Ni optimiste ni kitsch, juste un échange de mails très bien écrit sur le sujet.
Karasyov Carrie & Kargman Jill, Chic et choc à New-York – Qui ne sont PAS deux hamsters à New-York, la méprise venant encore une fois de la traduction plus que lointaine du titre anglais. Les humiliations de Mélanie Korn, ex-hôtesse de l’air et nouvelle riche qui tente de s’intégrer aux upper East-Siders sans avoir compris qu’avoir de l’argent n’apporte ni bon goût ni reconnaissance. Rassurez-vous, il y a une morale simpliste. Pas le mieux du genre, je le reconnais.
Kinsella Sophie, les confessions d’une accro du shopping – Un des premiers livres de CL après Bridget Jones. A tout problème Becky ne connaît qu’une solution : le shopping. Clairement, il y a des ennuis financiers dans l’air, et aussi une histoire d’amour (mais ça, on le sait dès la page 20, alors qu’elle ne le découvre qu’à la page 280). Très bon malgré une héroïne parfois légèrement horripilante.
Kinsella Sophie, les petits secrets d’Emma – Emma a peur de l’avion, et déballe tous ses secrets à un parfait inconnu au cours d’un vol mouvementé. Bin sûr l’inconnu ne l’est pas tant que ça, et Emma apprendra à ses dépends qu’on ne raconte jamais ses secrets impunément. Et je vous laisse deviner avec qui elle est à la fin du livre… lu en une journée cet été.
Long Sarah, And what do you do? - Voilà une héroïne qui a réglé l’éternelle question “can you have it all” en se consacrant à ses enfants et en laissant son mari travailler. Mais à l’approche de la quarantaine, elle se désespère de son derrière pachydermique et de ses cheveux ternes. Et découvre un matin que son mari français (et donc volage) a une liaison. Voilà exactement l’événement qu’il fallait pour secouer Laura et faire avancer l’histoire. Ouf, on a cru rester 400 pages sur des problèmes d’au-pair suédoise allergique à la pulpe de tomates !
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